J’aurais pu perdre l’appartement de mon enfance sur la Côte d’Azur

L’appartement de l’enfance est plus qu’un simple bien immobilier : c’est un morceau de mémoire, de vie familiale et de racines. Pourtant, après le décès d’un parent, il arrive que la pression financière et les obligations fiscales rendent sa conservation presque impossible. C’est exactement ce qui est arrivé à l’une de mes clientes à Nice, qui pensait devoir vendre son appartement pour régler les droits de succession.
Comment l’expertise a changé la donne
Face à cette situation, j’ai été sollicité en tant qu’expert immobilier. Mon rôle a été de réaliser une expertise en valeur vénale objective du bien, conforme aux standards professionnels. Cette estimation rigoureuse a permis de démontrer sa véritable valeur sur le marché, et d’offrir une base de négociation solide avec la banque.
Sans cette expertise, l’administration et les créanciers auraient retenu une valeur arbitraire, risquant de fragiliser la succession et d’obliger à vendre précipitamment.
Comment l’hypothèque a permis de sauver l’appartement
Grâce à cette expertise, ma cliente a pu mettre en place une solution financière alternative : obtenir un prêt hypothécaire adossé à la valeur du bien, plutôt que de le céder. Ce montage lui a donné la liquidité nécessaire pour régler les frais de succession et préserver son patrimoine familial.
Aujourd’hui, elle occupe encore cet appartement chargé de souvenirs, preuve que dans les moments les plus délicats, recourir à une expertise professionnelle peut éviter une perte irréversible.
