Un crédit relais bloqué à Nice Cimiez : l’expertise officielle déjoue une sous-estimation et sauve un projet à 1,8 M€
Dans l’univers complexe de l’immobilier, un projet peut se retrouver bloqué par des obstacles inattendus. Le crédit relais, censé être une solution de transition, peut virer au casse-tête si la valeur du bien est contestée par la banque. Pour mieux comprendre cette situation, nous avons recueilli le témoignage de M. et Mme Massa, des propriétaires niçois de l’élégant quartier de Cimiez. Leur histoire, racontée à notre journaliste et complétée par l’avis d’un expert, montre comment un rapport d’expertise immobilière a transformé un blocage en une véritable opportunité.
Témoignage : « La banque ne rigole plus face aux ‘Avis de valeur' »
Journaliste – L’Immobilier Niçois pour les Nuls : Bonjour M. et Mme Massa. Merci de nous accorder cet entretien. Pouvez-vous nous expliquer la situation que vous avez rencontrée concernant la vente de votre maison à Cimiez ?
M. Massa : Bonjour. Notre projet était simple : vendre notre résidence principale, une maison située dans le quartier de Cimiez, pour en acheter une nouvelle. L’agence immobilière qui nous vendait notre future maison avait fait une estimation de notre bien actuel, autour de 2 300 000 €.
Mme Massa : Nous pensions que cette estimation suffirait. Mais notre banque, pour le crédit relais, a catégoriquement refusé cette estimation. Ce n’était qu’un « Avis de valeur », et non un « Rapport d’expertise » estampillé par un professionnel indépendant. C’est clair, les banques ne rigolent plus avec ça.
M. Massa : Exactement. En fait, cette agence avait sans doute sous-estimé notre bien, soit par manque d’expérience sur un quartier comme Cimiez, soit par un conflit d’intérêts tacite. L’expert a finalement fixé une valeur vénale défendable à 1 800 000 €. C’était une somme inférieure à l’estimation de l’agence et à notre attente initiale, mais au moins, cette valeur avait une force probante qui l’a rendue valable auprès de la banque. Sans ça, notre dossier était simplement bloqué. Une décision que nous n’aurions jamais prise seuls !
L’intervention de l’expert : 72 heures pour transformer le blocage en accord
Journaliste : L’expert a en effet fourni une évaluation juste, objective et reconnue par votre établissement financier, là où un simple avis de valeur a échoué. Pouvez-vous nous décrire cette intervention ?
M. Massa : Le processus a été très rapide, ce qui était crucial pour nous. L’expert est intervenu en 72 heures.
Mme Massa : Oui, la visite a été très complète, avec une analyse de tous les documents. Nous avons apprécié cette rigueur et cette réactivité, surtout après notre déconvenue.
Journaliste : Pour être précis, l’intervention s’est déroulée en plusieurs étapes clés pour votre crédit relais :
Visite et analyse documentaire approfondie : Une inspection minutieuse de votre maison à Cimiez, complétée par l’analyse des titres de propriété, des diagnostics et des règles d’urbanisme spécifiques à cette zone résidentielle haut de gamme de Nice.
Évaluation rigoureuse et indépendante : L’expert a déterminé la valeur vénale en se basant sur des méthodes rigoureuses et des référentiels reconnus (standards TEGoVA), en se détachant de tout intérêt commercial et en menant une étude approfondie du marché local de Cimiez, avec des comparables précis.
Rapport d’expertise officiel : Le rapport d’expertise, argumenté et détaillé, vous a été remis en seulement 72 heures après la visite. Ce document est reconnu par les institutions financières et sert de preuve incontestable.
M. Massa : L’effet a été immédiat. La banque a débloqué le financement et, mieux encore, a rehaussé le montant de notre crédit relais sur la base de la valeur de 1,8 M€ retenue.
Résultats concrets : un projet sécurisé, une pression financière allégée
Journaliste : Quels ont été les impacts concrets de cette expertise sur votre projet ?
Mme Massa : C’est simple, notre dossier a été accepté. Sans cette valeur vénale établie par un Rapport d’expertise officiel, nous serions encore dans l’incertitude.
M. Massa : Le montant du relais a été augmenté, ce qui nous a donné une bien meilleure marge de manœuvre. Cela a réduit la pression financière et nous permet de vendre notre maison à notre rythme, sans être contraints par l’urgence. Le calendrier de notre projet est respecté, et c’est un immense soulagement.
L’avis du journaliste : la différence entre un « Avis de valeur » et un « Rapport d’expertise »
Journaliste : Pour conclure, que retenez-vous de cette expérience, et quel conseil donneriez-vous aux propriétaires dans une situation similaire ?
M. Massa : Mon conseil serait : n’hésitez pas. L’expertise n’est pas juste un coût, c’est un investissement qui débloque tout.
Journaliste : C’est exactement ça. Votre cas est un excellent exemple de l’importance de bien distinguer un simple avis de valeur commercial (souvent approximatif et issu d’une agence ayant un intérêt à la transaction) d’un Rapport d’expertise en valeur vénale. Ce dernier, réalisé par un professionnel indépendant, est un document officiel et conforme aux exigences bancaires. Il sécurise le montage de votre financement, accélère la décision de votre établissement bancaire et évite les approximations qui bloquent les dossiers. Les banques exigent désormais des documents fiables.
N’attendez pas un refus pour agir. Anticipez et donnez-vous les moyens de concrétiser vos projets immobiliers.
Pour plus de détails, vous pouvez consulter la page de Banques sur le prêt relais directement :
Crédit Agricole : Prêt relais : tout comprendre avant de s’engager
Crédit Mutuel : Prêt relais : financez votre futur bien sans avoir vendu l’ancien
BNP : BNP Paribas – Le prêt relais
